le commencement

Saru entendait en lui les paroles de Sokka, il se demanda si c'est un rêve, il se dit que c'était un très beau rêve, il entrouvrit une fois de plus les yeux, aperçu la silhouette de sokka puis les refermait, c'était pas un rêve, Saru commençait à comprendre dans quel état il se trouvait, sortit peu à peu de son délire, mais son corps ne lui répondait pas.
Saru voulait sortir, il voulu sortir de ce corps fragile mais il ne contrôlait plus rien, il ouvrit les yeux d'un seul coup,(ce qui fit sursauter un des medecins) fout de rage, d'être si impuissant, ses yeux devinrent rouges sang, il se battait contre cette fatigue qui le tiraillait, il suppliait Sokka du regard, comme un enfant qui va pleurer, ses yeux rouges étaient larmoyants... Il se sentait si faible.

Il reprenait et perdait conscience dans un état miteux, crachant du sang.
Sokkâ le regardait, impuissant, ne sachant quoi faire d'autre que pleurer. Ses membres tremblaient et il douta que ce fut le froid ... Non .. ça l'était pas.

Il s'approcha néanmoins, sentant qu'il le regretterais s'il ne le faisait pas.
Il arborait une teinte pâle que seul une peur et une angoisse terrible laissait aux visages des effarés.
Peur ?
Peur de quoi exactement ?
Mais merde, c'est pas évident ?
Peur de perdre ce qui lui avait redonné gout à la vie alors que tout était noir ...
Peur de voir partir loin de lui ce qu'on lui avait donné de plus beau.

Saru l'avait comprit, Saru l'avait accepté, tel qu'il était défauts comme qualités... Qui d'autre que lui pouvait le comprendre mieux ? Il douta que tout ce qu'il lui avait dit durant tout ce temps sortirait à nouveau de sa bouche.
Non, il en était sur. Plus jamais il ne parlerait à quelqu'un d'autre comme il parlait à Saru.
C'est pour ça, il avait peur de le perdre, de tout perdre ...
Son odeur, ses caresses, ses mots doux, ses représailles, ses leçons quand Sokkâ faisait des conneries, son sourire, ses larmes qu'il ne pourrait plus sécher ...

" T'as pas l'droit"

dit il d'une voix cassée, basse, inaudible ...

" j'ai besoin de toi"

ajouta t-il de la même voix.
Non, il avait pas le droit de se laisser mourir ... Il fallait qu'il se batte. Au moins pour lui !

" Sois pas égoïste s'il te plais ..."

De même

" regarde moi ..."

Idem

" Je t'aime ..."

un sourire tendu apparue sur la bouche de Saru, et quelques paroles basses, issues de son délire, il répéta encore, et encore, avec difficulté, "crucifié pour l'enfer, crucifié pour l'enfer..."
il cracha du sang, son état était critique, trop instable.

En son intérieur, Saru apparue au milieu de cette plaine d'herbes vertes, le vielle arbre qui trônait en son centre saignait de toutes ses branches, Saru regardait cette scène d'un regard triste, presque vide. Puis il pensa à Sokka, et il se mit à sourire, puis à s'en vouloir, il rit doucement, et prononça simplement "baaka...", Saru se sentait tellement honteux...

Il reprit à demi conscience dans le monde réel, il toussa, cracha du sang encore, il le savait, il était entre de bonnes mains... mais il n'était plus trop sure de vouloir vivre, en fait peut etre était il temps pour lui de partir, peut être que Sokka se sentirait plus libre sans lui....

Sokkâ avait rejoint le QG de la LH.
Son arrivé avait stupéfait plus d'un ... Mais il s'y était attendu. Un décision pareil était forcement quelque chose d'assez étonnant de la part d'un gars qui ne voulait pas assumer ses responsabilités pendant plus de 5 ans.
C'était d'autant plus aberrant qu'il était rentré en donnant des tonnes d'ordres en séries, comme si il était le patron incontesté et incontestable qui se serait absenté un petit moment.
Bien évidement, les autre agents de la LH lui devaient l'obéissance la plus totale ... Puisqu'il était supérieur. Un des agent secrétaire du vrai maitre des lieu s'approcha de lui l'air un peu effaré.

" Que vous arrive t-il donc Sokkâ, vous avez perdu l'esprit ? Vous vous prenez pour maitre Saru ?

- Non pas ma p'tite dame ( cette réflexion eut pour effet de dessiner une grimace sur le visage du gars qui essayait de soutenir le pas de son interlocuteur ). Saru est de congé forcé, c'est moi qui prends les rennes de ce merdier

- Ah oui ? Et depuis quand ?

- Depuis ... Il regarda sa montre, environ 30 minutes en fait

- Depuis 30 minutes ? Mais maitre Saru nous en a rien dit !

- Je sais

- Mais ou est il ?!

- ça j'en sais rien, probablement à la maison.

- Comment ça !! Mais est il au courant de vos agissements ?

- Nap, j'en doute fortement."

L'autre gars resta interdit ... Sokkâ avait prit la décision tout seul, comme un grand, sur un coup de tête de remplacer le chef de la Last Hope pour une durée indéterminé.
Il s'agitait de droite à gauche, donnant des ordres des conseils ... Bref il s'était improvisé un parfait petit orchestre qu'il menait à la baguette.
Le manège dura quelques heures mais fut interrompu brusquement par un signal retentissant.
Sokkâ ralentit le pas, s'approcha doucement de la salle d'où venait l'alarme, il poussa la porte et entra.
Il ne dit rien, observa une carte magique de la ville et un point rouge qui clignotait à un endroit plus ou moins précis.
Comme en peu de temps le personnel avait été mis au courant de la prise de contrôle de Sokkâ, une des filles qui s'occupait de cette section de retourna vers lui et lui expliqua la situation sans que celui-ci n'eut besoin de parler.

" Un membre de la LH a essayé de tuer un autre mem..."

Sokkâ l'avait dépassé et scrutait scrupuleusement la carte. Il fronça les sourcils. Un silence se fit dans la salle, comme si l'aura de Sokkâ l'imposait par une réflexion incompréhensible par les autres personnes de la salle. Juste une atmosphère pesante ... Mauvais pressentiment ...

" Qui sait ?"

Laissa t-il enfin échapper du bout des lèvres.

" Eh bien ... Rare sont les membres qui essaient de s'entre tuer ... Mais récemment, celui qui est en surveillance rouge, c'est ...

- Orion ... Acheva Sokkâ en se redressant promptement. Il commença à craindre le pire ... Mais ne savait pas quoi. Il savait qu'il se tramait quelque chose et ça ne le rassurait pas le moins du monde.
Envoyez des équipes de secours, je veux les meilleurs, je vais avec elles.

- Mais Sok ... Maitre Sokkâ, les médecins ont été mobilisé il y a à peine quelques heures ! C'est trop leurs demand....

Sokkê fit volteface, d'un coup, d'un seul.

- Qu'est ce que j'en ai à faire moi ? C'est leurs boulots non ?! Donc, Équipe Alpha, avec moi et je les veux maintenant !

Ne sachant vraiment pas pourquoi, Sokkâ était angoissé. Et chacun de ses pas raisonnait dans sa tête. Tout allait pas assez vite pour lui. D'abord marchant vite, puis plus vite encore jusqu'à trottiner et enfin sans s'en rendre compte il se mit à courir ...
Ils dévalèrent les sous sols pour arriver au dessous de l'endroit indiqué par la carte. C'était d'étroits couloirs très allongés et sombre ... Sokkâ suivait d'abord le groupe, puis plus les pas raisonnait plus son angoisse grandissait.
Il courut, plus vite que les autres, bouscula certains et passa devant et là ...
Comme une sensation de déjà vu.
Comme un film qu'on embobinait ... Une sensation que son corps est devenu comme incontrôlable, comme si son esprit s'était mis en veuille.
Et les pas lui martelait le crâne ...
Oui ... Déjà vu mais ou déjà vu ? La réponse lui vint aussi instantanément que la question .. Un rêve. Celui qu'il avait fait en s'assoupissant dans un train sensé les conduire lui et ... Saru.

" Merde ... Non ... Non ... Pas Saru ..... "

Son cœur battait la chamade, sa poitrine était endolorie par tant de coups.

"Pourvu que j'arrive à temps ...."

Cette réplique, il s'y attendais déjà. Et là tout ce déroulé exactement comme il l'avait rêvé : Il avait dépassé largement les autres et avait l'impression d'être seul dans ce couloir longiligne. Puis une lumière au bout, elle se rapprochait au fur et à mesure qu'il courrait vers elle ...
Il déboucha alors dans un parking, bourré de voiture et ... Personne à l'horizon.
Il stoppa net. La voix ... Il devait entendre la voix ... Et il entendit

" Si je te mords ... Tu sera à moi !"

Orion était dans les parages, il le savait. Mais il se rappela bien vite du sang qui était sensé coulé par terre. Il baissa donc les yeux et fut soulagé de voir qu'il n'y avait rien... Quoi que ... Il vit quelques goutes de sang. Sans prendre le temps, comme dans son rêve de lever les yeux avec lenteur, il se dirigea vers la même porte qu'il avait vu auparavant, l'ouvrit d'un coup, s'attendant à voir Saru agonisant mais là encore, la science des rêves n'est pas tout à fait exact : un escalier en métal qui montait vers le toit.
Sokkâ ne réfléchit pas, monta aussi vite qu'il le pu en laissant la porte ouverte aux autres qui le précédaient de peu.
La montée lui sembla interminablement longue, rude, étroite .... Il entendait plus bas les autres galérer un peu et il aboya un " Dépêchez vous putain !" qui fit accéléré la cadence déjà soutenu de ses accolites ...
Finalement, Sokkâ aperçu la porte, entrouverte du toit, la rejoignit enfin, la poussa avec violence . Il regarda à droite, à gauche, rien ... Puis en haut ...Il hoqueta.

Ce qu'il craignait : Saru dans un état plus que négligeable ... Planté comme un papillon avec une punaise, son sang coulait doucement... Mains, ventre .. Cou ... Sokkâ resta planté là pétrifié ... Un beug cérébrale surement. Les autres arrivèrent, regardèrent un bref instant Sokkâ paralysé par la vision qu'il avait sous les yeux puis ils tournèrent leurs regards dans la même direction.
Surprise générale.
Précipitation.
On enleva les punaise qui détenait le fragile papillon en l'air.
Garrots.
Cercles.
Magie.
Soin.
Vie.
toi.
Il.

Sokkâ ne bougeait pas. N'entendait plus rien. Il ne pourrait rien faire de toute façon.
Il observait la scène, bouche close, de marbre ... Une envie de vomir : fausse évidement. Un vampire ne peut pas vomir. D'ailleurs il ne respirait plus. Son cœur cessa de battre. Tout était en suspens. Tout s'était arrêté autour de lui.
Le temps avait retenu son souffle.
Réponds ...
Laisse moi te voir sourire,
laisse moi te voir pleurer,
laisse moi te voir vivre.
Est ce que tu seras assez lâche pour me laisser seul ?
J'ai besoin de toi ... Je ne peux pas vivre sans toi !
Mon cœur ne peut battre sans ton sang.
Tout me paraitra fade, lavé, sans gouts, sans saveur ...

Non quoi ... Le chemin qu'on peut parcourir ensemble peut être encore très long.

Sokkâ dans cette perde de conscience éveillé, vu défiler une tonnes d'images muettes dont il ne savait strictement pas d'où elle venait ... C'était un rêve étrangement agréable. Il vit Satsuki et Noriko ... se tenant la main, amoureusement se taquinant. Il se voyait tirer les cheveux de Satsu-chan en riant aux éclats, Jack aussi était là, soupirant mais esquissant un sourire, il essayait d'arrêter les mauvaises intentions de son bourru de maitre tyrannique ( Sokkâ ). Bien entendu, c'est pas lui qui l'arrêta mais ... Une autre personne ... Une autre petite main, fragile, douce et blanche ... Il tourna la tâte vers un gamin à la chevelure blanche comme la neige et des yeux d'un bleu azure captivant ...
Il sourit.
Sokkâ, apaisé sourit aussi.
Il le va les yeux et vu la deuxième plus belle image dans ce petit scénario improvisé de l'esprit ahuri de Sokkâ ... Deuxième parce que la première, c'était le môme ...
Oui, une très belle image ... Saru, un léger sourire aux lèvres qui se tenait un peu à l'écart de la petite troupe un peu trop agitée, ses long cheveux noirs ondulant dans le vent et ses yeux noir, à moitié clos par un excès de tendresse regardait Sokkâ et le gamin.
Sokkâ prit alors l'enfant dans ses bras, se redressa et attendit que Saru vienne le rejoindre, laissant le reste de la troupe s'éloigner un peu.

Ce fut la dernière image qu'il vit, puis il retourna à la réalité ... Il entendit de nouveau, revint sur terre, ressentit douleurs et indignation face aux médecins qui étaient penché sur le chef suprême de la LH.
Sokkâ sentit un liquide chaud couler de ses yeux....
Il n'attendait qu'une chose ... La réponse ....

Saru récupéra ses esprit dans la réalité, il prit une grande boufée d'air, le coeur battant il laissa passé quelques secondes avent de se relever.
Debout en haut de sa tour, Saru avait les cheveux dans le vent et une magnifique vision de toute la ville, il vida son esprit de tout ce qui l'entourait et ferma quelques instants les yeux afain de reposer son esprit. ce furent quelques instant de trop, Saru senti des crocs s'enfoncer dans sa gorge. Il fut paralysé en quelques secondes, son sang se vidait de son corps petit à petit, il se senti épuisé, ses forces le quittaient.
puis les crocs lacherent prise. Saru tomba à genoux, Orion, dans son dos, fit le tour et se mit face à lui.
Il envoya un énorme coup de pied à la figure de Saru qui s'écroula par terre.
Orion riait tout en disant
"Alors? ça fait quoi de se sentir faible? hein? tu sens ce que j'ai ressenti toutes ces années enfermé dans ma cellule? pas de sang à boire, un mort viavant en piteux état."Orion était en colere et envoya un coup de pied puissant dans l'estomac de saru, puis un autre dans la tete.
Orion sortit une lame de sa veste et cria en colère "tu le ressent???? hein??? tu le ressens??? tu es faible et pitoyable, tu ne mérite pas de vivre."
Saru ouvrit la bouche, mais rien ne sortait, il avait du mal à respirer, son corps ne lui répondait plus, Orion l'avait eu avec tant de facilité que c'en était déconcertant.
Soudain, saru se sentit projeté contre l'antenne située sur la tour, et deux lames vinrent lui transpercer les main et se planter dans l'antenne afin de le maintenir en l'air.
Saru eut un sourire et se dit "qu'elle ironie, se retrouver cruscifié comme jésus alors que ma place est en enfer..." puis il perdit conaissance.
Orion lui envoya une derniere lame dans le bide pour l'achever et s'en alla sans récupérer son reste.

Comme foudroyé Sokkâ se réveilla brusquement de sa léthargie, le souffle haletant.
Il resta les yeux ouverts, allongé sur le banc sur lequel son corps, entrainé par la gravité, s'était affaissé durant son sommeil.
Il observa ce qui l'entourait, sans bouger, sans pouvoir vraiment réaliser ce qu'il venait de vivre, sans pouvoir arrêter une douleur chauffé à blanc qui venait de faire son apparition au fond de sa gorge.
Il en avait l'estomac retourné, et son cœur qui bondissait dans sa poitrine lui créait une souffrance insoutenable ... Il en oubliait que c'était seulement par sa volonté que celui-ci battait comme celui de n'importe quel être vivant.

Après quelques minutes de ressaisissement, il se redressa avec peine et se tint assit.
Une seule personne obsédait son esprit ... Saru.
Il n'avait qu'un seul désir : se retrouver près de lui.
Combien de temps s'étaient ils séparaient ? quelques minutes ? Tout au plus quelques heures ?
Sokkâ regarda le ciel. Le soleil se couchait déjà ... Oui, quelques heures.
Pourtant, cela lui semblait être une éternité. Non, pas une éternité. 5 ans pour être plus précis.
Il baissa les yeux et réfléchit.
A quel moment exactement il y a eut une fissure ? A quel moment exactement leurs chemins s'étaient involontairement détourné ? Et pourquoi ?

Plusieurs minutes passèrent dans lesquelles Sokkâ resta plongé dans de longues réflexions.
Puis il se leva, l'air déterminé ... Il avait prit une décision.

Saru était là, debout, devant Sokka, on voyait qu'il soufrait, son visage était tendu.
"Je t'avoue que c'est la premiere fois que je fais ça avec une ame humaine, sortir de son corps une ame de chat m'a pris plusieurs mois d'entrainement, mais là, je crois que c'était suicidaire d'avoir essayé de te sortir de ton corps, je m'étonne meme d'avoir réussi. Maintenant, j'ai à te parler avant que ma tete n'explose."Sokka ouvrit la bouche mais Saru ne lui laissa pas le temps de parler
"Excuse moi, pardon pour tout à l'heure, je ne me controle pas ces derniers temps, je pense à plein de choses en meme temps, entre l'organisation, les nouveau arrivants et... toi... je fatigue un peu."Saru marqua une pause une goutte de sueur perla sur son front.
"L'arrivée de Jack a un peu chamboulé les choses, c'est le portrait craché d'Orion, ce qui n'aide pas beaucoup... Ensuite, en parlant d'Orion, il se balade en ville, avec la ferme intention de me tuer, et enfin, une organisation anarchiste est apparue à l'est du japon et tue chacune de nos équipes unes par unes."Saru avait la respiration qui s'accélérait.
"Je voulais m'escuser d'avoir était si froid tout à l'heure, je ne veux rien te cacher, pourtant ces derniers temps, je ne t'ai plus parlé, j'ai passé mon temps à bosser et t'ai traité comme un inconnu, j'aurais du partager avec toi les taches qui m'incombent, parceque je te fais confiance et que tu es tout à fait capable de t'en occuper, pourtant, je voulais te protéger de tout ça, à cause de l'organisation, tu as perdu tes pouvoirs, et je ne voulais pas t'en demander plus. ça fait des mois que je m'entraine pour trouver un moyen de les récupérer sans que tu ne fasses ce qui parrait inévitable...."Saru commencait à s'essoufler mais il ne laissait pas à sokka le temps de dire un mot.
"Comme tu vois ça a échoué, je n'arrive pas à te garder en mois plus de quelques minutes... donc je penses pas que ce soit possible pour toi alors qu'il ne te reste rien de ton aspiration. En tout cas, c'est sur que moi je ne suis pas fais pour ça, je me demande meme comment tu pouvais supporter un tel pouvoir, c'est vraiment douloureux."a peine Saru eut-il finit sa phrase que Sokka se sentit aspiré à l'exterieur. Avant de sisparaitre dans un gros coup de vent qui fit voler avec lui les jolies fleurs de la prairie, Sokka vit alors le coeur de ce monde, ce champs de crane, image d'un passé lourd et triste.

Sokka fut aspiré par son corps comme un appel, en fait le plus dur avait était d'en sortir, y rentrer était un jeu d'enfant, car un corps sans ame émet comme un signal de détresse permanant qui aspire l'ame de son propriétaire à l'instant où elle réapparait dans les environs Sokka se senti comme dans des montagnes russes puis finit dans son corps d'un seul coup violent.
De son coté, Saru reprit ses esprits dans le monde réel et regarda le paysage l'air fatigué, il avait encore bien des choses à faire, mais trôp peu de temps pour les accomplir....

Sokkâ qui une minute aupaavent flanné et revassait de choses et d'autre se retrouva alors dans l'esprit d'une autre personne que lui .... Saru.
C'était certes la premières fois qu'il allait dans l'esprit de Saru mais pas que !
Son pouvoir ne lui avait jamais permit de rentrer dans l'esprit de qui que ce soit. à chaque fois il avait pu entre voir le monde de quelqu'un par absorption mais jamais, au grand jamais il n'avait eut l'occasion de sortir de serais ce de son corps.

Vous pouvez donc imaginer son état de choque O_o !!
Il tourna la tête de tout les côté d'un air plus que surprit.
Le monde de Saru ressemblait en certains points à celui de Sokkâ : c'était essentiellement de la verdure. Tout semblait calme et serein. Un ciel bleu azure et profond, de grandes pleines jonchées de fleurs ...
Mais ici ne subsistait qu'un seul arbre : un magnifique cerisier qui surplombait une colline dominant cette espace fictif.

Sokkâ, l'air complètement abasourdit ne savait plus exactement s'il réfléchissait ou si son cerveau avait beugué.
Il lui fallut bien de bonnes minutes pour s'emparer à nouveau de lui même et commencé à analyser, malgré la situation dans lequel il se trouvait.

les questions fusèrent dans son esprit ( signe que maintenant il avait reprit conscience ).
Tout d'abord, comment cela se faisait - il que Saru ait pu aspirer son âme à l'extérieur de son corps ? Le pouvoir de Saru ne servait qu'à sortir de son propre corps, pas d'attirer un autre esprit dans le sien.
A moins qu'il ait réussit à maitriser d'autres pouvoirs.
Sokkâ se dit qu'en 5 ans, et avec la puissance de Saru, cela pourrait être envisageable.
Il admit donc cette hypothèse.
Sokkâ avait noté que Saru avait eu quelques difficultés : Saru ne maitrise donc pas encore tout à fait ce pouvoir. Ce qui signifiait aussi qu'il ne devrait supporter Sokkâ que très peu de temps.
Avoir une âme en plus de la sienne dans son esprit était extrêmement dangereux et dans le cas présent, pour les deux puisque Sokkâ qui n'avait jamais voyagé au dehors de son corps ne savait pas par conséquent rentrer chez lui ....

Tout en observant le spectacle il leva le doigts face à lui d'un air ailleurs , pour signaler qu'il avait quelque chose à dire.
Il ouvrit la bouche mais il eut du mal à formuler sa question.

" ...Depuis quand tu peux .... Combien de temps ça .... Pourquoi tu me .... "

Il était vraiment subjugué quoi ....

Il remarqua qu'il arrivait pas à finir ses question et se trouva infiniment bête.

" Non sérieux ... Là ça fait beaucoup pour un seul jour ... Comment veux tu que que je n'ai pas de crise cardiaque moi ? "

Il se mit alors à rire. L'air toujours surpassé il riait de bon cœur en observant le paysage. Il plaqua sa main sur son front et la fit coulisser dans ses cheveux.

" Je peux pas mourir de crise cardiaque en même temps .... Mais oh putain .... Oh putain de merde alors ....
Et moi qui voulait te bouder encore une heure avant de rentrer ... Si je m'attendais à ça ... Oh putain .."

Il en avait les jambes flasques et se laissa tomber sur le cul ( c'est le cas d'le dire ).

" Tu vas m'en faire encore combien des coup comme ça "

Dit il en appuyant sa tête dans la paume de sa main, toujours en riant de surprise.
Oui ... Il était vraiment à la fois admiratif, étonné subjugué.

[NOTE à PART à SARU -en tant qu'Admin : N'oubli pas le contexte ( même si ça fait longtemps qu'on a pas posté, au niveau de l'histoire ça ne fait qu'un seul jour ! Saru crois que Sokkâ lui en veut et qu'il est peut être parti pour un peu plus qu'une heure ou deux loool. Donc il y a quiproquo : Tache de le continuer sur la lancé.
J'ai gardé le fait que Sokkâ n'aperçoit pas les crânes. ]

Saru sourit gentiement et dit simplement

"Tu dois encore apprendre bien des choses...mais ne t'inquietes pas, la dernière chose que j'avais à régler, c'était d'aller voir Sokka!"

Saru tourna simplement les talons et passa par la fenetre, il sauta de toits en toits et alla se poser sur une tour très en hauteur de laquelle on avait une vue parfaite de toute la ville.
Saru s'assit en tailleur, puis sortit son esprit de son corps, il allait faire ce pour quoi il n'était absolument pas fait, aspirer.
Son esprit vaquant dans les airs repéra Sokka., il s'approcha de lui, Sokka sentit un vent frais tournoyer autour de lui, il le connaissait bien, il s'attendait à voir Saru apparaitre en lui. Pourtant il n'en fit rien, le petit vent tournoyait autour de lui, l'esprit de Saru se concentré tout en tournant autour de Sokka. Puis à un moment précis,Sokka sentit des mains entrer en lui et l'attraper, il sentait ce que Saru essayait tant bien que mal de faire, mais c'était instable. Après un gros effort, Saru réussit à sortir totalement Sokka de son corps et l'emporta avec lui. Les deux esprits des jeunes garçons se retrouvèrent face à face dans le corps de Saru puis s'imprégnèrent en lui. Sokka voyait pour la première fois "l'intérieur" de Saru.

"Avant de Partir vous ne pensez pas que vous devriez aller voir Sokka Sempai! Il n'avait pas l'air très bien je l'ai senti! ça ne me regarde peut être pas mais après ce qu'il à fait pour moi je veux l'aider..."

Il se plaça devant Saru l'air sérieux...

"Je sais que vous travailler beaucoup, mais il ne faut pas délaiser Sokka sempai pour autant...Je sens que vous ne voulez pas montrer vos faiblesse, mais comment voulez vous qu'on devienne que vous aller bien ou nom si vous vous cacher sans cèsse dérrière un masque...C'ets douleureux pour tout le monde, pour vous et votre santé, pour sempai et son coeur et pour tout ceux qui vous entour dont moi, qui vous vois vous évitee sans cèsse chercher un échappatoire..."

Jack baissa la tête...

"Vous devriez aller lui parler..."

Saru s'exclama

"Je ne m'étais jamais penché sur ce genre de solution médicales lors des combats, mais ça pourrait etre très aventageux d'avoir des experts en botannique au sein de la LH!"

Il souriait doucement

"Peut etre que comme ça on pourra sauver plus de vies...!"
Saru regarda Jack et lui dit sincerement

"Merci de m'avoir expliqué tout cela, je pense que tu auras beaucoup à nous apprendre au sein de l'organisation! Je te remercie encore une fois pour ce que tu as fais tout à l'heure, maintenant, il faut que j'aille régler une derniere chose, ça ne te dérange pas de rester ici? ou tu peux aussi aller te balader si tu veux..."

"D...désolé..."

Il rougit un peu avant de montrer la 1ère plante

"Je m'en sers pour la substance que je vous ai appliqué, cette plante est la fleur de mandragore, connue pour ses soit disant liens avec la magie noir, ses racines son toxiques mais pas les feuilles, Ainsi je m'en sers pour cicatriser les blessures..."

Il prit ensuite possession de la 2e.

"La Belladone, se traduit par "jolie femme" en Italien elle peut soit disant exalter les charmes d'une personne mais dans mon cas je m'en sers pour faire un anti-douleur et empêche la blessure de s'infecter ou de faire souffrir la personne..."

Il reposa les deux plante pour prendre finalement la dernière...

"La fleur de Prunier n'est pas obligatoire pour ce remède mais si jamais je dois le faire avaler, ce qui peu arriver, elle donne un meilleur goût et empêche le patient de vomir car l'inconvénient de ce médicament est qu'il est difficile de le faire avaler à cause de son goût infect, cependant elle sert aussi de calmant un peu comme les tisanes ou autre..."

"Je ne m'y connais pas trop en botanique"

dit-il d'un air agacé

"qu'est-ce que c'est?"

Jack vit les joues empourprés de Saru, mais ne fit aucune reflexion là dessu, il sorti alors de son sac une fleur blanche avec de longue feuilles, il la posa sur le bar puis sortit des feuilles avec des baies noir dessus et pour finir une fleur rose, il alligna tout ça devant Saru, une fois cela fait il observa Saru...

"Connaissez vous ces plantes à tout hasard ?..."

Saru entra dans la chambre et vit la feuille posée sur le lit, il lacha la tasse de thé par terre, posa ses mains de part et d'autre de la feuille et lit attentivement les quelques mots qu'avait laissé Sokka. Il ne fit meme pas attention au dessin en dessous, des larmes tombèrent sur le papier, faisant couler l'encre sur la feuille.

"pourquoi ne comprend tu pas à quel point j'ai honte, si honte de t'avoir blessé....Je n'ose meme plus te regarder en face..."
Puis il s'assit en position de méditation, il se retrouva dans cette plaine verte immense, à perte de vue avec cet unique arbre qui tronnait là, seul. Des petites fleurs jonchaient le sol. Si on faisait bien attention (seul Saru le savait, meme Sokka ne l'avait jamais vu) on pouvait voir des cranes sous les herbes, bien cachés dans cette nature verdoyante. Saru courru jusqu'à l'arbre, fit apparaitre un sabre dans sa main et le marqua avec violence d'une immense croix. Les larmes coulaient le long de ses joues et de la nouvelle plaie de l'arbre coulait non pas de la sève mais du sang.

Saru ouvrit les yeux et se releva, il alla jusqu'au salon et vit Jack accoudé au bar, Saru avait caché ses larmes, si bien que personne n'aurait pu savoir qu'il avait pleuré.

Il fit un sourire à Jack et lui demanda

"qu'est-ce que tu as mis comme produit sur ma plaie, franchement c'était très efficace!"

Sokkâ sentit Saru disparaitre de ses bras.
Il resta un moment dans la même position ridiculement seul.
Il esquissa un sourire forcé qui avait plutôt l'air d'une grimace du aux contractions des muscles de son visage.
Même si Sokkâ s'efforça de sourire, il n'apprécia pas le moins du monde d'être ainsi .... coiffé au poteau...
Eux qui avaient si peu d'occasions de discuter sérieusement ... D'autant plus que Sokkâ avait toujours eu du mal à exprimer ce genre de trucs...
Il avait fait un grand effort sur lui même pour être sérieux, ne pas rougir, parler sans hésiter ... Bref, là, ça l'avait vraiment blessé ...

" Là ... Je pardonne pas ! "

Se dit-il.

" Je m'en fou, quoi qu'il fasse, je l'envoi balader ! "

Sokkâ se réveilla, se leva sans faire de bruit puis plaça un papier sur le lit sur lequel était écrit un :

" Sur ce coup là , je te pardonne pas ! " suivit d'un petit dessin de lui-même tirant la langue ( le dessin ajouté là, était un signalement que certes, il boudait, mais bon ... C'était pas la mort non-plus ... C'était que du boudin quoi ... )

Puis, il sortir par la fenêtre et partie se balader les mains dans les poches. Il était pas d'humeur à rigoler avec Jack ou Saru ... Il était plutôt d'une humeur sérieuse. Il voulait discuter, avoir un conversation construite avec quelqu'un ou rester seul à penser dans son coin.
C'est ce qu'il fit.

Il jalonna les rues, traversa quelques routes, ne pensant à rien en particulier ... Il atterrit, il ne sait comment ( il ne regardait pas trop ou il allait ) dans un charmant petit parc, plein de verdure.
Il y entra, s'assit sur un banc et regarda les gens passer.
Il y avait quelques couples, se tenant la main, se lançant des regards doux et pleins d'amour.
Il se mit à sourire involontairement, attendrit par cette ambiance.

Puis, il se mit à rêvasser, la tête dans les nuages, pensant à ce qu'il ferait le lendemain... Il aurait aimé rester seul avec Saru et se prom .... Non !! Non !!! Il le boudait !!!
Il secoua sa tête pour essayer de chasser Saru de ses pensées ... Chose difficile ...
Son ventre se mit à gargouillé et il se rendit compte que cela faisait 3 jours qu'il ne s'était pas nourrit.
3 jours s'était rien pour lui : il pouvait tenir environ un mois dans encombre, 2 mois difficiles et 3 mois .... Il avait jamais essayé...

Il soupira en levant les yeux aux ciel.

" Un petit oiseau ferra l'affaire .... "

Mais il abandonna cette idée en entendant le chant mélodieux de l'un d'entre eux. Tuer un pauvre volatile qui lui offrait une douce mélodie serait trop cruel.
Il s'abstiendrait d'un petit gouté et continua a observer les gens qui passaient en amoureux.

Saru disparut alors des bras de Sokka et se releva sur le lit.
Il se leva et alla dans le salon, silencieusement, il vit Jack et lui fit un sourire, puis passa dans la cuisine et prépara un thé puis revint dans la chambre.

Sokkâ attrapa la tête de Saru et l'embrassa à la fois avec passion et tendresse.
Lorsques ses lèvres quittèrent celles de Saru, celui-ci le regarda avec un sourire mélancolique.

" Ben voyons, pourquoi tu t'excuses ? Qu'est ce qui est le plus important pour moi d'après toi ? Prendre un peu de temps pour réparer un monde non réel en quelques minutes, ou perdre à jamais la chose la plus précieuse à mes yeux ? "

Puis il effaça son sourire pour devenir sérieux puis il l'enlaça doucement, plaçant son visage dans ses cheveux noirs.

" Saru, s'il te plait, ne garde pas tout comme ça en toi. Tu as le droit de craquer, tu as le droit de te lâcher. C'est pas parce que tu diras que tu en as assez que la terre va arrêter de tourner.
On ne peut pas être fort tout le temps, on peut peut pas supporter autant de charge tout seul.
Alors, sache que je suis là. Tu peux te reposer sur moi ... Je n'ai pas ton niveau, certes, mais ne fait pas comme si tu étais seul à être responsable de tout.... "

La voix de Sokkâ se brisa. Il ne savait plus trop quoi dire.

"Ton visage en colère, tes yeux larmoyants, ton air triste ... J'ai toujours voulu que ça n'éxiste pas, que tu sois toujours souriant, j'ai toujours voulu te voir heureux.
Mais, je sais pertinemment, que malgré tout, on passe tous par des périodes moins marrantes que d'autres.
Ne me cache plus ton humeur, n'essaie plus d'éviter cela. Je veux voir tout tes visages. Tous quelques qu'ils soient. "

Saru regarda le ciel redevenu bleu

"Je suis désolé"

dit-il d'un air.....euh ben... désolé....!

Il attrapa Sokka dans ses bras et le serra fort, vraiment fort.

Sokkâ avait remarqué la présence de Saru et attendit d'avoir fini sa besogne.
Le monde se reconstruisait petit à petit, doucement mais surement.
L'endroit était calme et serein. Quelques nuages immaculés de blanc traversaient le ciel, laissant de longues ombres rafraichissantes sur le sol et tachetant le paysage.

Il y avait toujours cette légère brise caressante et douce. Le monde de Sokkâ s'était à nouveau stabilisé.
Quelques minutes passèrent et le paysage se trouva à nouveau flambant neuf.

Sokkâ ouvrit les yeux doucement et expira longuement.
Il se releva, avec un grand sourire chaleureux et enfantin, puis il tourna des talon vers Saru.
Il l'observa longuement sans rien dire, rassuré de le voir en meilleur état.

" C'est mieux comme ça pas vrai ? "

Dit il enfin en désignant le reste du paysage d'un mouvement de tête. Mais celui-ci ne quittait plus Saru des yeux.

Saru s'allongea à coté de Sokka sortit de lui meme pour rejoindre Sokka, il apparut devant lui, il était la, en tailleur , les yeux fermés, en train de méditer, tout se reconstruisait autour de lui, petit à petit...

[ petit mot en tant qu'Admin : Faites attention ! Le jeu est passé à vitesse grand V. N'oubliez pas de rester fluide dans vos explications. Un jeu trop rapide entraine des des quiproquos et des discordes. J'ai par ailleurs rectifié le post de Saru- si vous voulez voir. ]

*petit retour en arrière*

Saru venait de disparaitre, laissant Sokkâ .... Bah comme un con.
Il se laissa le temps de souffler et tomba sur le cul en se relâcha complètement.

" Eh ben .... C'était pas beaux à voir ça ... "

Souffla t-il.

" ... Monsieur Sokkâ ... "

La voix fit sursauter Sokkâ qui se retourna brusquement d'un air étonné.

" Qu'est c'tu fous là toi ? Qui t'as autorisé à rentrer ? "

- Euh ... Excusez moi monsieur Sokkâ, mais vous nous avez appelé ... "

Sokkâ réfléchit un instant

" Ah ouais ... C'est vrai. Mais c'était pas pour moi. Saru ? "

" Ses blessures sont en train d'être soignées, il est hors de danger à présent"

Sokkâ soupira d'un énorme soulagement. Et les nuages gris disparurent peu à peu laissant place à un immense ciel bleu. Il s'étala par terre.
Le médecin observa Sokkâ ce qui eut pour effet d'agacer celui-ci.

"Ok ! T'as vu mon intérieur, je suis conscient et tout va bien. Maintenant tu peux partir non ? "

Le médecin se trouva soudain gêné ... Il s'était introduit dans l'espace au combien privé d'un supérieur et sans sa permission.
Il s'inclina aussi vite et maladroitement qu'il pu puis disparut.

Le calme était revenu, plus aucun bruit, juste le vent qui soufflait doucement sur la terre retourné et les arbres dépouillés. ..

La forme vampirique de Sokkâ se détacha de son corps.
Il observa les alentours puis disparut sans ajouter quoi que ce soit.

Sokkâ leva la main devant lui, observa les blessures causées par les rafales.
Le voir ainsi l'avait beaucoup affligé.
Plus le temps passait, plus il se rendait compte que Saru lui était cher...
Puis il laissa tomber sa main mollement et se concentra.
Il devait remettre de l'ordre dans tout ça .... Le processus de reconstruction s'était amorcé et Sokkâ se mit à méditer profondément.

Saru sortit de la douche, s'habilla avec des vetements propre et s'approcha du lit sur lequel était alongé Sokka, il s'assit à coté de lui et attendit qu'il se réveille.

Jack Regarda Saru avec un air soulager, il semblait heureux d'avoir pu être utile, et aussi très flatté que Saru veuille apprendre une de ses techniques, il se leva et alla se poster pres de Sokka, il posa sa main sur son front heuresment il n'avait pas de fièvre, mais il hésiter à savoir si il devait utliser un autre produit pour que Sokka se réveille plus vite...Il soupira puis ce décida au moins à préparer un calement afin que le reveille de Sokka se fasse sans douleurs, même si les médecins avait déja bien fait leur travaille on n'était jamais assez prudent

Saru ouvrit doucement les yeux, il vit le plafond, d'abord flou, puis de plus en plus distinctement. Lorsque tout devint net, il se releva sur le lit et essaya de rassembler ses esprits. Saplaie était moins douloureuse, il vit Jack assis par terre et Sokka toujours inconscient. Deux hommes entrèrent en trombe dans la chambre, regardèrent la pièces, puis se faisant un signe de tete, l'un alla s'occuper de Sokka et l'autre de Saru.
Saru se pencha en avant et laissa apparaitre un bandage qui recouvrait son dos, le médecin coupa la bande et vit une sorte de substance qui recouvrait les plaies et qui avaient commencé à cicatriser le tout.
Le médecin s'étonna qu'un tel mélange existe qui puisse soigner des blessures si grave en si peu de temps mais il fit fit de tout cela et commença à creer des pentacles bien plus complexes que ceux utilisés pour jack sur le dos de Saru.
De son coté l'autre médecin c'était assit à coté de Sokka et avait commencé à méditer et entra dans son intérieur, il s'approcha du Sokka blessé.
Celui-ci était bel et bien conscient et rassura le médecin en disant qu'il s'occuperait du reste.
Le médecin approuva et disparut pour réapparaitre dans la réalité et dit simplement à son collègue

"J'ai atteint mes douze minutes d'autonomie en dehors de mon corps, mais Monsieur Sokka m'a dit de ne pas s'inquiéter. Heureusement que Monsieur Saru nous enseigne son savoir, il y a quelques mois je n'aurais pas été capable de faire tout cela..."

Son autre collègue termina son travaille, la plaie de Saru était totalement soignée, les deux hommes repartirent aussi vite qu'ils étaient venues après que Saru les ai remercié.
Jack avait observé la scène silencieusement en essayant de retenir les pentacles utilisés.
Sau se releva du lit en titubant un peu et dit

"Merci pour ce que tu as fait, grace à ton produit dont j'aimerais que tu m'apprenne les secrets d'ailleurs, j'ai pu etre guérit à une vitesse qui dépasse mes espérances, de tels soins prennent d'habitude plusieurs heures."
Saru sortit alors de la pièce et se dirigea dans la salle de bain et alla prendre une douche.